10 lieux et sites touristiques à visiter ABSOLUMENT!!!!
Le Cameroun est un pays situé en Afrique Centrale et est le pays Africain appelé Afrique en Miniature vu sa biodiversité et ses magnifiques lieux
I-LAC TCHAD
Véritable mer intérieure située à une altitude de 281 mètres, le lac Tchad s'étend aux confins de quatre États : le Tchad, le Niger, le Nigeria et le Cameroun
On estime qu'au Paléolithique le lac Tchad occupait toute la partie sud-est du Sahara, soit 315 000 kilomètres carrés. Depuis lors, il a dû connaître deux périodes d'assèchement et de remplissage, avant de prendre sa configuration actuelle. Sa superficie varie de 10 000 à 25 000 kilomètres carrés, sa profondeur de 1 ou 3 mètres à 7 mètres (minima en juillet, maxima en décembre). Ces variations sont fonction des crues du Chari et du Logone ; ces deux fleuves drainent les eaux des pluies tropicales des contrées méridionales et fournissent à eux seuls, par un delta commun, 75 p. 100 des apports fluviaux. Venant de l'ouest, la Yobé est négligeable en dehors des périodes de crue. Au nord-est, le sillon du Soro (ou Bahr el-Ghazal) évacue, en fonction du niveau du lac, une partie des eaux vers le Djourab.
Les précipitations sont faibles (de l'ordre de 200 à 400 mm par an) ; elles diminuent vers le nord et sont en général concentrées sur vingt-cinq jours ; la saison sèche s'étend d'avril à juillet et celle des pluies de juillet à octobre. Ces variations tendent, par leurs conséquences (alluvionnement, intensification de l'évaporation), à faire du lac Tchad une dépression en voie de comblement, se transformant peu à peu en un immense marécage : en effet, il est encombré de nombreuses îles, de bancs de vase, d'îlots de papyrus. Sauf aux embouchures du Chari et de la Yobé, les eaux sont légèrement saumâtres. Les oscillations de niveau et d'étendue entraînent une « dénatronisation » du lac ; le natron (carbonate de sodium naturel) se dépose sur les rives au moment du retrait des eaux.
Les îles et les abords du lac sont occupés par des populations assez diverses. Les Yédina, dénommés aussi Buduma (mangeurs de papyrus), et les Kouris vivent dans les îles, se déplacent en pirogue ou sur de petits radeaux de papyrus ; ils pratiquent un peu la pêche et surtout l'élevage des bovins. Les Kanembus vivent au nord-est du lac. Le
royaume de Kanem s'étendait, au IX
II-PARC NATIONAL DE WAZA
Source:Wikipedia |
Le parc national de Waza est l'un des Parcs nationaux. Situé dans l'extrême nord du pays, non loin du Lac Tchad, il couvre une superficie de 1 700 km2. C'est une Réserve de Biosphère reconnue par l'Unesco depuis 1979. Riche d'une faune naturelle exceptionnelle, il est l'un des atouts touristiques du Cameroun.
D'abord réserve de chasse créée en 1934 sous le nom de Zina-Waza, le parc a reçu le statut de Parc National en 1968.
III-PARC NATIONAL DE KORUP
Créé en 1986, c'est l'un des plus importants D’Afrique par la diversité de sa flore et de sa faune.On peut y aller par bateau depuis Limbé ou par route via Kumba.Le parc est unique en son genre. Il couvre 1 260 km2 et est considéré comme l’une des plus belles et plus vieilles forêts tropicales humides du monde. La richesse de sa faune et de sa flore réside dans le fait qu’il a survécu à l’âge glaciaire et aujourd’hui il ressemble à un musée de plus de 60 millions d’années.
On y trouve plusieurs plantes endémiques comme Diospyros Korupensis
Plus de 400 essences d’arbres et de nombreuses plantes médicinales y ont été identifiées. On y a notamment découvert une liane (Ancistrocladus Korupensis) qui aurait des effets positifs dans le traitement contre certains cancers et contre le VIH.
Quant à la faune, on y dénombre plus de 300 espèces d’oiseaux à l’intérieur du parc et 100 autres dans les environs, 174 espèces de reptiles d'amphibiens et 140 espèces de poissons qui peuplent les nombreux cours d’eau. Aménagé comme une réserve de faune naturelle, on y trouve quelques éléphants, buffles, antilopes, léopards ou chimpanzés. On y retrouve aussi plus de 25 % des espèces de primates d'Afrique.
IV- LE WOURI (Douala)
Le Wouri est un fleuve camerounais dont l'estuaire est situé a Douala.
Au XIIIe siècle, le puissant roi Ebokea Bodjongo'A Mbedi règne sur la côte atlantique de part et d’autre du « fleuve d'Ewodi » — en réalité le fleuve Sawa (du littoral) est alors appelé « Mundja Mw'Ewodi », soit « fleuve d'Ewodi » en langue duala, Ewodi étant la localité fluviale qui abrite son lit— et, dans le domaine de ce roi, se trouve Bodjomgo, que l'on situe à l'emplacement de l'actuel quartier administratif Bonanjo ; à cet endroit, il rassemble les peuples de cette côte autour du cercle du Ngondo pour vénérer le fleuve d'Ewodi au travers de rites aquatiques et pour organiser des échanges culturels, juridiques et socio-économiques.
En 1472 les marins du navigateur portugais Fernando Po entrent dans l'estuaire du Wouri, s'extasient devant l'abondance des crevettes dans le cours d'eau qu'ils nomment en conséquence Río dos Camarões, ce qui signifie en français « rivière (ou fleuve) aux crevettes ». Ainsi, du XVIe siècle au début du XXe siècle, le Wouri est connu sous le nom Camarões (« crevettes » en portugais), d'où le nom actuel de la nation Cameroun.
Pendant la colonisation du Cameroun par les Allemands — de la fin du XIXe siècle au début de la Première Guerre Mondiale —, les colons allemands changent de nombreux mots du vocabulaire local qu'ils interprètent à leur façon : « éwodi » est transformé en « wouri », mot qui n'a pas d'étymologie locale ; c’est ainsi que « Mundja Mw'Ewodi » — le fleuve d’Ewodi — devient « le fleuve Wouri ».
Le bassin du Wouri à Douala — 11 700 km2 — est drainé par deux affluents principaux
le Nkam provenant des montagnes de la partie nord-ouest du bassin (Bamboutos - Manengouba) et du plateau Bamiléké; la Makombé provenant des régions de Bangangté , Ndikinimeki et Ngambé. Au confluent de ces deux rivières, le cours d'eau prend le nom de Wouri. À Nono, en aval de Yabassi , le Wouri reçoit un affluent important : La Dibombé, qui draine le flanc sud du Manengouba, les Monts Koupé près de Loum et la région de Mbanga
Le Bassin Du Wouri à Yabassi a une superficie de 8 250 km2.
La pente moyenne du Wouri-Nkam, obtenue après élimination est de 5,7m/km.
V-LE MONT CAMEROUN
Le mont Cameroun est le volcan le plus actif de l'Afrique de L'Ouest avec neuf éruptions au cours du XXe siècle. L'une de ses éruptions aurait été observée par l'explorateur et général Carthaginois Hanon, naviguant alors le long des côtes occidentales africaines au V siècle av J.C. Depuis l'arrivée des Européens dans la région au XVII siècle, ses explosions de nature Hawaïenne et Strombolienne sont caractérisées par des explosions d'indice comprise entre 2 et 3 ainsi que l'émission de Coulées de laves depuis le sommet et ses pentes. Ces coulées de lave atteignent parfois l'Océan Atlantique comme c'est le cas en 1922 tandis qu'en 1999, la lave s'est arrêtée à 200 mètres du rivage. Celle de 1982 a produit des lahars et celle de 2000 un lac de lave. Si elles peuvent causer des destructions, notamment dans des villages, des cultures et en coupant des routes, ces éruptions n'ont jamais fait de victimes grâce aux évacuations préventives des habitants.Les pentes du mont Cameroun sont habitées par les Bakweri.Pour cette ethnie bantoue, la montagne est la demeure de leurs dieux et les récentes éruptions sont la conséquence de la mort de leur chef Monono Otto.
L'ascension du mont Cameroun se fait par des sentiers de randonnées. La meilleure période pour l'entreprendre est l'hiver, notamment les mois de décembre, janvier et février. L'érudit explorateur et écrivain britannique Richard Francis Burton est le premier Européen à avoir réussi l'ascension de la montagne en 1851.
Chaque année au mois de février se déroule une ascension du volcan appelée Mount Cameroon Race of Hope ou Course de L'espoir. Les meilleurs coureurs mettent environ 4 h 30 à faire l'aller et retour de Buéa. La première épreuve a eu lieu en 1973 et a été sponsorisée par la Guiness Bière jusqu'en 2005, date à laquelle la féderation camerounaise d’athlétisme a repris l'organisation de l'épreuve.
VI- CAMPO BEACH
A la première vue du visiteur, Campo Beach
est un petit village de rien du tout. Ses maisons, en matériaux
provisoires, ne laissent pas apparaître ce « paradis caché » dont
plusieurs personnes vantent les charmes. Campo Beach, le dernier mètre
carré de la superficie du Cameroun, serait alors un « Eldorado », un
site d’extase.
Situé à l’embouchure du Ntem, ce petit village représente le Cameroun en miniature. On y retrouve des ressortissants de toutes les régions du Cameroun, et même de certains pays de l’Afrique de l’Ouest. Le vivre-ensemble est donc bien appliqué ici. Bien que négligeable par sa superficie réduite, Campo Beach n’est pas à déprécier. En matière de sécurité, la localité serait l’une des zones les plus surveillées. La présence des éléments du Bataillon d’intervention rapide (BIR), des fusiliers marins, des policiers et des douaniers, dissuade toute idée négative.
A 500 mètres de la Guinée-équatoriale, Campo Beach tient bien son rôle de centre commercial, qui accueille Camerounais et Equato-guinéens. On y trouve un peu de tout, et à moindre coût. « J’achète du bon vin, ici, quatre fois moins cher qu’à Yaoundé et à Douala », raconte Esther Ngo Bilong. La dame est venue s’approvisionner en vins et whiskies, pour le mariage de son frère. Il n’y a pas que vins et liqueurs qui attirent. Les plages pittoresques de la zone font aussi affluer. Couché sous un cocotier, le visiteur, à la tombée de la nuit, laissant se balader son esprit dans le vent qui souffle, est bercé par la musique mystique des vagues. Et quand il pleut au petit matin, c’est un autre phénomène qui se vit : la mer n’est plus visible. On se croirait dans les nuages.
Autant de phénomènes à découvrir. Campo Beach, qui rayonnait déjà sous son statut de base militaire allemande, en 1884. Quelques traces de cette époque s’y distinguent encore. A l’image de la guillotine, que vous découvrirez à un jet de pierre de la résidence du chef de groupement Iyassa
Situé à l’embouchure du Ntem, ce petit village représente le Cameroun en miniature. On y retrouve des ressortissants de toutes les régions du Cameroun, et même de certains pays de l’Afrique de l’Ouest. Le vivre-ensemble est donc bien appliqué ici. Bien que négligeable par sa superficie réduite, Campo Beach n’est pas à déprécier. En matière de sécurité, la localité serait l’une des zones les plus surveillées. La présence des éléments du Bataillon d’intervention rapide (BIR), des fusiliers marins, des policiers et des douaniers, dissuade toute idée négative.
A 500 mètres de la Guinée-équatoriale, Campo Beach tient bien son rôle de centre commercial, qui accueille Camerounais et Equato-guinéens. On y trouve un peu de tout, et à moindre coût. « J’achète du bon vin, ici, quatre fois moins cher qu’à Yaoundé et à Douala », raconte Esther Ngo Bilong. La dame est venue s’approvisionner en vins et whiskies, pour le mariage de son frère. Il n’y a pas que vins et liqueurs qui attirent. Les plages pittoresques de la zone font aussi affluer. Couché sous un cocotier, le visiteur, à la tombée de la nuit, laissant se balader son esprit dans le vent qui souffle, est bercé par la musique mystique des vagues. Et quand il pleut au petit matin, c’est un autre phénomène qui se vit : la mer n’est plus visible. On se croirait dans les nuages.
Autant de phénomènes à découvrir. Campo Beach, qui rayonnait déjà sous son statut de base militaire allemande, en 1884. Quelques traces de cette époque s’y distinguent encore. A l’image de la guillotine, que vous découvrirez à un jet de pierre de la résidence du chef de groupement Iyassa
VII- VILLE DE KRIBI ET CHUTES DE LA LOBE
Kribi est une communauté urbaine du Cameroun située dans le Département de L'Océan et la Région du Sud. C'est une importante station balnéaire connue pour ses plages de sable blanc et son port.
Elle est un point stratégique du trafic maritime dans le Golfe de Guinée et le terminus de l'oléoduc transportant le pétrole brut depuis les champs pétrolifères de la region de Doba au sud-ouest et du Tchad.Les Chutes de la Lobbé sont également a proximité de la ville(7KM) et il y a une route intérieure,a travers la foret littorale,Jusqu’à Lolodorf.La région de l'Océan est habitée par des peuples autochtones de chasseurs-cueilleurs dénommés Bagyeli ou Bakola. Le mode de vie et les traditions des Bagyeli est de nos jours l’une des plus importantes curiosités de Kribi. Il existe un fort intérêt envers des produits de tourisme ethnique et les communautés Bagyeli sont généralement ouvertes à la possibilité d’accueillir et accompagner des touristes. Néanmoins, la relation des pygmées bagyeli avec le tourisme n’a pas fourni des bénéfices durables à ce groupe. Leur exposition au tourisme peut entraîner la banalisation de leur culture et l’exploitation de ces communautés. Des initiatives sont néanmoins en place comme la possibilité de visiter des campements de façon responsable et non invasive avec l'ONG FONDAF a Bipindi ou la mise en place d'un circuit dans la forêt des chutes de la Lobé est programmée par le Ministère du Tourisme afin de valoriser leurs connaissances et culture.
chute de la Lobbé |
VIII- CENTRE CLIMATIQUE DE
DSCHANG
Le Centre climatique de Dschang est le premier village de vacances d’Afrique centrale et fait partie du patrimoine architectural de la ville de Dschang au Cameroun.
Une partie de la réputation de la ville vient de ce centre climatique situé à 1 500 mètres d'altitude sur les flancs de l'une des collines jouxtant la ville, ses pavillons individuels d'une, deux ou trois pièces, et son centre équestre.
Créé en 1942, l'établissement fut le premier village de vacances d'Afrique centrale : il servit en effet de point acclimatation et de repos des colons et militaires français d'Afrique centrale. Début 1998, l'hôtel héberge pendant plusieurs mois la célèbre compagnie nantaise de théâtre de rue Royal de luxe où est né « l'enfant noir », marionnette de 6 mètres de haut. La compagnie y peaufine également son spectacle Petits Contes Nègres, titre provisoire avant son retour à Nantes pour la Coupe du monde .
C'est aujourd'hui un hôtel, prisé des nationaux et des étrangers pour leurs vacances, mais qui a connu quelques difficultés.
Centre climatique de Dschang Vu de haut |
IX- ROYAUME BAMOUN
Le royaume Bamoun situé dans les montagnes de l'ouest du Cameroun, a forgé son unité au cours des sept siècles d’existence du royaume. Le roi des Bamouns est de la dynastie de Nchare Yen, venue de Rifum (Mbankim). Les croyances religieuses en vigueur dans cette région sont aujourd’hui l'islam, venu du nord, et le christianisme , venu du sud.
L’actuel territoire des Bamouns a été unifié par les Tikars en plusieurs étapes.
On suppose que vers la fin du XIVe siècle, 200 à 300 personnes ont franchi le fleuve Noun à la suite du prince Nchare qui soumit sept principautés avant de s’établir dans un premier temps à Djimom. L’État Bamoun y est proclamé et Djimom devient la première capitale du royaume. Le pacte fondamental stipule que : « L'État Bamoun est né et Nchare en est le roi. Il désignera librement son héritier parmi ses fils. »
Les sept compagnons Kom, cosignataires, sont les conseillers intronisateurs du roi, chargés de garder la loi fondamentale en l’état et de veiller à son application. Leur fonction est héréditaire et ils sont autonomes.
De Djimom, Nchare soumet une dizaine d’autres ethnies et établit sa nouvelle capitale à Foumban après y avoir vaincu les Ba M'ben qu’il réinstalle dans un quartier de la ville.
Le royaume a alors une dimension presque circulaire dont le diamètre est de 30 km environ entre Djimom et Kundùm. La population se situe autour de 25 000 personnes.
Quand Mbuombuo Mandù devint le onzième monarque vers la fin du XVIIIe siècle, il entreprend de grandes conquêtes aux frontières naturelles du Mbam, de la Mapè et du Noun. Le territoire est multiplié par quatre.
Avec une superficie de 7 700 km² environ et 820 000 habitants, la région du Bamoun couvre plus de la moitié de l’actuelle Région de l’Ouest.
Le royaume est constitué d’un haut plateau (700m) à l’ouest, surmonté de trois massifs alignés – Mbapit(1910m), Nkogham et Mbam (2200. m) – et d’une plaine encaissée au pied de la falaise à l’Est de Foumban ; cette plaine longe la rive du Mbam jusqu'au point de confluence avec le Noun près de Bafia.
X-LA CHEFFERIE
BANDJOUN(AVEC SON MUSEE)
Entrée de la chefferie (bandjoun) |
A 20 km de Bafoussam, sur la route de Bagangté, se trouve la chefferie de Bandjoun. Des chemins sinueux, bordés de clôtures enfermant des bananiers, mènent à une succession de cases traditionnelles, bien alignées et soutenues par des piliers de bois sculpté, sorte de colonnades autour de l'habitat qui mérite d'être détaillée.
L'extérieur de la case tend à changer de plus en plus, malgré la volonté de certains notables Bamilékés qui essayent de conserver l'ancienne architecture locale. Le toit de chaume est remplacé par un toit de taule ondulée et les rideaux en bambou ne couvrent plus les façades. Par contre, l'intérieur des cases reste partout le même. Le foyer est au centre de la grande pièce; trois pierres suffisent à supporter les marmites. Tout le mobilier est en bambou; telle l'échelle pour grimper au grenier où est stockée la réserve de maïs, d'arachides et de bois, également les étagères pour ranger les ustensiles ménagers, les lits et même les tabourets.
La chefferie contient aussi un musée où l'on trouve les accessoires des anciens chefs, le patrimoine de la famille, mais aussi un bâtiment moderne qui sert de salle de fêtes, de salle de réunion...
Musée Bandjoun |
XI-MONUMENT DE LA REUNIFICATION
Le monument de la réunification est situé à Yaoundé, la capitale du Cameroun. Il a été construit au début des années 1970 pour célébrer la réunification du cameroun .
Le monument est érigé entre 1973 et 1976, le monument est à Yaoundé pour immortaliser l'avènement de la Réunification du Cameroun francophone et anglophone en 1961.
L’ancien président de la République Unie de Cameroun, Ahmadou Ahidjo lance un concours national et international pour faire une représentation de la réunification.
3 personnes sont retenues :
- Un sous-sol avec grand hall circulaire décoré de tableaux muraux de Mgr Engelbert Mveng,
- Une dalle au rez-de-chaussée, habillée de fresques en bois d'Etolo Eya .
- Au sommet de la tour, le point de rencontre des entrées Est et Ouest, symbolisant l’unité parfaite des deux grandes parties anglophone et francophone.
Gédéon Mpando veut symboliser l'unité autour de la famille : le vieillard représente la génération des camerounais qui ont lutté pour la Réunification. Les enfants soulignent l'égalité des chances entre filles et garçons avec une place de choix à la jeune fille.
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